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01/06/2008 19:21

Le recit policier

Avant de replonger dans les contes du Roi Arthur, nous allons terminer cette semaine l'écriture de notre roman policier. Il faudra corriger nos erreurs d'orthographe et améliorer certains passages en respectant la grille de relecture suivante :



Premier jet
Au départ il y a une énigme à résoudre : qui a commis un vol ? qui a commis un meurtre ?
Il y a une enquête
Il y a des indices puis des preuves
Il y a un interrogatoire
Les faits paraissent réels
Le coupable est démasqué et je connais son mobile: j’ai fini mon roman policier
J’ai crée une ambiance de mystère : pluie, journée sombre....
J’ai utilisé les mots de vocabulaire précis
J’ai fait attention aux accords sujet verbe
J’ai fait attention aux accords noms adjectifs
Mes idées sont originales
J’ai utilisé la ponctuation approprié cf dialogue guillemets, virgule, ...
Les idées s’enchaînent bien
J’ai décrit un personnage
Deuxième jet
J’ai amélioré des phrases
J’ai corrigé des erreurs d’orthographe
J’ai écrit lisiblement
J’ai utilisé le vocabulaire adéquat

Cécile Santier
19/12/2007 12:22

infromations: reunion vendredi 21 décembre

Une réunion d'infomations concernant le voyage scolaire des CM2 18h dans la classe. Mme Lelong et Mme Santier vous exposerons les modalités du projet et son coût. Vous pourrez poser vos questions.
Cécile Santier
19/12/2007 11:47

Préparons Noel

C'est bientôt Noel. Nous préparons des photophores pour emporter chez nous.
Mais Noel est aussi un moment pour penser aux autres et partager.
Vendredi matrin nous irons voir les personnes agées de la maison de retraite et nous leur chanterons quelques airs connus.
Cécile Santier
02/12/2007 18:44

Titre

C'est bientot le marché de Noel!!
Nous avons besoin de pots en verre pour fabriquer des photphore. N'hésitez pas!
Cécile Santier

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Archives 2015/2016

Attentats de Paris



Attentats de Paris
Suite aux attentats parisiens nous nous sommes préparés aux questions des enfants et nous organiserons demain lundi des temps de parole dans les classes.Une minute de silence et un temps de solidarité seront organisés sur la cour demain à 11H45.

Des conseils pour répondre aux enfants. ( cf Astrapi Attentats)



Attentats de Paris : comment répondre aux questions des enfants?
Les attentats que nous connaissons depuis hier, 13 novembre, nous choquent tous. Nous vous proposons, parents, adultes, de relire cette interview de la pédopsychiatre Catherine Jousselme qui, au moment des attentats de janvier 2015, nous expliquait comment les enfants réagissent à des évènements violents de ce type et comment nous pouvons leur en parler.

Les enfants, petits et grands, qu’ils aient été confrontés à l’information directement ou pas, ressentent cette atmosphère et nos sentiments très vifs. La première chose à faire, quel que soit l’âge de vos enfants, est de les informer directement.

Il faut leur expliquer ce qui s’est passé : un attentat, des morts, des gens qui ne veulent pas qu'on exprime librement ses idées. Bien sûr, suivant l’âge des enfants, les réponses et les explications seront différentes. Le professeur Catherine Jousselme, pédopsychiatre à la Fondation Vallée à Gentilly, nous aide à trouver les bons mots et les bonnes réactions.

Avec un petit de moins de 6 ans, Catherine Jousselme conseille de ne pas montrer d’images et d’en rester à l’information de base. Les adultes doivent dire que ce qui vient de se passer est grave pour tout le pays, que cela les touche et les émeut. Surtout, les enfants doivent comprendre que les adultes sont là et s’organisent pour protéger tous les habitants de la France.

Les enfants plus grands, jusqu’à 10 ou 11 ans, doivent pouvoir en parler. À leurs questions, mais sans les devancer, il faut apporter des réponses factuelles. Les échanges avec vous doivent aussi leur permettre de comprendre que les adultes, et l’État, veillent à ce que cela ne se reproduise pas, que les coupables sont recherchés et que la fraternité et la solidarité sont les seules réponses possibles. Parler avec eux, leur proposer de dessiner ce qu’ils ont compris, expliquer les images s’ils y ont été confrontés : ce sont des façons simples de leur permettre de juguler des inquiétudes et des angoisses qui pourraient les envahir.

Cependant les enfants ne réagissent pas tous de la même façon et certains seront plus touchés que d’autres malgré l’attention des parents. Un enfant qui ferait des cauchemars fréquents dans les semaines qui viennent, qui perdrait le goût de jouer ou de manger devra être l’objet d’une attention toute particulière. Il faudra l’inciter à s’exprimer, en discutant, en dessinant avec lui. Voire en lui permettant de rencontrer un professionnel – médecin, psychologue, psychiatre – qui saura l’aider.

Les adolescents sont eux exposés à l’information très directement via internet et les réseaux sociaux. Plus ils sont informés, plus il est nécessaire d’être présent auprès d’eux. Il faut les aider à cadrer leurs réactions et redonner des informations simples sur la loi qui protège la liberté d’expression et pose l’interdit du meurtre ainsi que la nécessité d'être solidaires face à un événement d’une telle violence qu’elle peut entraîner des réactions en chaîne. Il est important qu’ils sentent que les adultes sont des soutiens solides, tant dans la famille qu’à l’école.
Certains peuvent être confrontés à des propos violents d’autres adolescents autour d’eux ou sur les réseaux sociaux. S’ils vous rapportent ces propos, il faut les assurer que la réponse n’est pas dans cette spirale de la violence et signaler éventuellement ces comportements au collège ou au lycée. Ce sont aux adultes de régler ces questions, pas à eux. Enfin, il ne faut pas les laisser seuls confrontés à toutes les images auxquelles ils ont accès si facilement sur leurs téléphones, leurs ordinateurs ou à la télévision. Ce flot d'images peut être très angoissant et les enfermer dans une vision très dégradée de la vie en société.


Dimanche 15 Novembre 2015
Catherine Lelong